Onet-le-Château. Pascal Croci présentait "Religieuses"
Après plusieurs ouvrages dont notamment "Auschwitz" ou "Hitler", celui qui reconnaît avoir fait des bandes dessinées pour apprendre à dessiner, revient à "ses premiers amours", entendez par là, un sujet traité au début de sa carrière et sur lequel Pascal
Croci revient avec
"Religieuses", une histoire qui nous plonge au cœur d’un scandale qui a agité la France, librement inspirée de celle des possédées de Louviers, qu’il dédicaçait ce samedi à l’espace culturel. Pour l’auteur, c’est une métaphore du mouvement "Me too", avec, sous-jacent, l’épineux problème de la présomption d’innocence ou comment peut-on être manipulé par l’image, quand on manque d’ouverture d’esprit. "La maladie la plus mortelle est l’indifférence, disait l’Abbé Pierre, mais pour moi maintenant, c’est le mépris…". D’où l’importance du rôle de l’historien pour répondre aux négationnistes et autres complotistes… pour recréer les conditions d’un vrai débat "la peur du mal, on l’a créé nous-mêmes…".
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